|
[ positions actuelles ] [ graphs macro economie ] [ VOS ANALYSES ] [ prev moyen terme ] [ gold silver ] [ graphs marquant ] [ position portefeuille ] [ inflation deflation ]
|
|
|
|
rdt negatif ?
10/12/2008 15:36
Money-Market Fund Yields May Fall to Less Than Zero, Crane Says
Email | Print | A A A
Commentaire de salie001 (10/03/2021 12:18) :
Votre site est merveilleux et diversifié. Étant invalide et insomniaque je
suis toujours occupé grâce à vous.
Bonne continuation !
Voyance en ligne par mail
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le pire arrive t il ?
29/11/2008 12:06
"Malheureusement, le pire est à venir»,
explique Robert Reich, ancien secrétaire américain du Travail sous la présidence de Bill Clinton et professeur à l'Université de Californie, Berkeley. Reich fait valoir que les consommateurs ont seulement commencé à serrer leur sac , ce qui diminuera les marchés d'affaires et force les employeurs à réduire les coûts en grande partie grâce à des réductions de paie. «Nous allons voir d'importantes mises à pied dans les mois à venir, et probablement jusqu'en 2009», dit-il.
Il suggère que la baisse est encore dans sa phase naissante, et que les pertes d'emplois pourraient dépasser 2 millions en 2009, avec l'escalade du chômage à 8%.
"À mesure que l'économie se glisse dans une récession plus profonde, il semble nous sommes plus proches du début du ralentissement du marché que de la fin", a écrit l'étude co-auteur, l'économiste Ed McKelvey.
"Nous prévoyons une nette baisse de l'emploi dans les mois à venir. Reich cite également de 8% comme un chiffre probable de chômage, bien qu'il note que ce chiffre exclut les demandeurs d'emploi qui ont abandonné complètement la recherche et les travailleurs à temps partiel recherchant un emploi à temps plein. Avec la population à ajouter, le chiffre pourrait monter en flèche à 12%, selon Reich.
| |
|
|
|
|
|
|
|
CRISE ACTE 2
29/11/2008 11:51
La crise : acte II ?
L’économie mondiale a entamé 2008 dans la tourmente financière. La crise des subprimes, conséquence de l’explosion de la bulle immobilière aux Etats-Unis et des mécanismes de la titrisation, s’est propagée au coeur des marchés financiers. Au fur et à mesure des annonces de dépréciation d’actifs bancaires de plusieurs centaines de milliards de dollars, pertes créant potentiellement un risque systémique, la tension sur les marchés financiers n’a cessé de croître : les replis boursiers et l’accroissement des volatilités ne sont que le “négatif” du manque brutal de liquidité. La volatilité a atteint un sommet autour de la mi-mars, ce qui amène à penser que le plus gros de la crise strictement financière pourrait être passé ; en tout cas son acte I. Dans ce contexte, les résultats des économies réelles au 1er trimestre ont pu surprendre : avec 0,2% de croissance de l’activité aux Etats-Unis, 0,6% en France et surtout 1,5% en Allemagne, tous les pays ont enregistré des évolutions plus fortes que prévues... et l’activité des pays de l’OCDE a, contre toute attente, accéléré au tournant de l’hiver. Mais dans le même temps, les anticipations de ceux qui font
l’économie, producteurs et consommateurs, se sont repliées de part et d’autre de l’Atlantique : les entreprises savent qu’elles sont sur le point d’entrer dans des phases conjoncturelles nettement plus difficiles, confrontées à la fois à des conditions de financement de plus en plus dures et à un ralentissement de leur demande. Car ce sont désormais des contre chocs sur l’ensemble des marchés de crédit aux entreprises et aux ménages qui sont anticipés: la diffusion de la crise à l’économie réelle via la restriction des mécanismes de crédits ne fait que s’amorcer au printemps 2008. Pourquoi ? Parce que pour compenser leurs coûts de refinancement, les banques pourraient soit augmenter le taux appliqué aux corporate, soit diminuer les montants prêtés… soit les deux. Quand un "crédit crunch" démarre sur un marché particulier – en l’occurrence la construction – l’histoire économique nous apprend qu’il frappe de manière souvent aveugle les autres marchés. Logiquement, du fait des surévaluations passées, les secteurs de la construction aux Etats-Unis, en Espagne, dans une moindre mesure au Royaume-Uni, ont été les premiers emportés. Ce qui est moins logique, c’est que les conditions de crédit aux autres secteurs productifs se sont également un peu durcies au cours du 1er trimestre : l’enquête d’avril sur la distribution de crédit de la Banque de France relève que les banques prévoient à la fois de poursuivre le relèvement de leur marge, mais également de réduire les montants et les durées, que ce soit à l’égard des grandes entreprises ou à l’égard des petites entreprises. Quant aux restrictions de crédits pour la consommation, si elles sont particulièrement sensibles aux Etats-Unis, l’Europe semble encore peu touchée ; pour autant les ménages anticipent : la consommation a – elle – ralenti au 1er trimestre dans la zone euro. Tout est en place pour le deuxième acte de la crise financière de 2008.
Karine Berger
Haut de page
| |
|
|
|
|
|
|
|
ça commence
08/11/2008 20:52
Islande: manifestation pour la démission du gouvernement et des dirigeants de la Banque centrale
Le Premier ministre irlandais Geir H. Haarde à Helsinki, le 28 octobre 2008
© AFP/Archives Martti Kainulainen
Entre trois et quatre mille personnes ont manifesté samedi à Reykjavik pour demander la démission du gouvernement et des dirigeants de la Banque centrale, et davantage d'informations sur la crise que traverse le pays.
| |
|
|
|
|
|
|
|
DECOMPOSITION DES CANAUX BAISSIERS
26/10/2008 11:05
à noter des doji de la hausse nous indiquent partiellement les points de rebond sur les obliques baissieres
Commentaire de occ (26/10/2008 17:19) :
3 belles meches basses
|
| |
|
|
|
|