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encore
01/12/2008 14:19
Il s'agit de la contraction la plus forte observée depuis que l'indicateur a été mis en place, en juin 1997. Cette dégradation augmente la pression en faveur d'une baisse radicale des taux d'intérêt de la part de la Banque centrale européenne, qui réunit jeudi son conseil des gouverneurs.
D'autant que l'enquête sur l'activité manufacturière est assortie d'éléments confirmant la détente rapide des pressions inflationnistes.
L'indice PMI manufacturier de la zone euro ressort à 35,6 pour le mois de novembre, alors que l'estimation flash fournie le 21 novembre était de 36,2.
L'indice est donc finalement nettement plus faible que ce à quoi s'attendaient les économistes interrogés par Reuters, qui tablaient en moyenne sur un indice conforme à l'estimation flash.
A 35,6, l'indice est très en deçà de la barre des 50,0 qui sépare croissance et contraction. Et les perspectives sont sombres pour les mois à venir au vu des composantes de l'indice. Les sous-indices de la production, des prises de commandes, des stocks et de l'emploi s'inscrivent tous à des plus bas record.
En outre, les indices PMI des quatre plus grandes économies de la zone euro sont tous également tombés à des niveaux record.
Une enquête similaire sur l'activité manufacturière aux Etats-Unis sera publiée à 15h00 GMT. Les économistes attendent une nouvelle baisse de l'indice à 37,0 après 38,9 en octobre.
L'indice PMI de la Chine, lui aussi publié lundi, est de même tombé à un plus bas record.
La zone euro est officiellement entrée en récession, avec la confirmation de la contraction de son activité deux trimestres de suite, d'avril à septembre. Les analystes, en moyenne, ne voient pas l'activité économique commencer à repartir avant le troisième trimestre 2009.
"L'estimation flash était déjà cohérente avec une grave récession et la révision à la baisse du chiffre de novembre accentue la pression sur la BCE pour qu'elle baisse les taux de plus de 50 points de base jeudi", commente Matthew Sharratt, de Bank of America.
"Le risque, c'est qu'elle veuille garder des munitions", ajoute-t-il, en notant que la BCE ne baisse jamais les taux de plus de 50 points à la fois.
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ploufff now il faut pricer la recession 2400
01/12/2008 11:11
CHICAGO (Reuters) - Les ventes de fin d'année aux États-Unis seront probablement pires que prévu sur la base des enquêtes réalisées au cours du week-end du "Black Friday", rapporte America's Research Group.
Le directeur général et fondateur de cette société d'étude, Britt Beemer, a déjà dit prévoir que l'année 2008 sera marquée par la première baisse des ventes en près d'un siècle d'enquêtes sur les dépenses de Noël, conséquence du ralentissement de l'économie américaine.
Beemer a ajouté dimanche à Reuters qu'il s'attendait à revoir en baisse dans les prochains jours ses prévisions de ventes au vu des réponses des consommateurs à l'enquête d'America's Research Group ce week-end. Il tablait jusqu'ici sur un déclin globale de 1% des ventes sur les fêtes.
"Black Friday", le vendredi suivant la fête de Thanksgiving, donne traditionnellement aux États-Unis le coup d'envoi de la saison commerciale de fin d'année. Malgré les habituelles bousculades qui ont marqué l'ouverture des magasins, et dans lesquelles un salarié de la chaîne d'hypermarchés Wal-mart a même trouvé la mort , un nombre important de clients se disaient déçus par les promotions proposées jusque-là.
Beemer publiera ses nouveaux pronostics et les résultats détaillés de son enquête dans le courant de la semaine.
Sur les 809 personnes interrogés, 38% ont répondu avoir dépensé moins ce week-end que l'an passé à la même époque, tandis que 18,9% ont répondu avoir dépensé davantage. Les autres ont évoqué un budget à peu près stable d'une année sur l'autre.
"Il est impossible que les ventes puissent augmenter quand les consommateurs qui ont dépensé moins sont deux fois plus nombreux que ceux qui ont dépensé plus", poursuit Beemer.
CE NOEL-CI NE RESSEMBLERA PAS AUX AUTRES
L'enquête montre aussi que 30,2% des Américains interrogés ont jugé que les promotions et remises proposées ce week-end n'étaient pas aussi intéressantes qu'en 2007, tandis que 20,5% ont répondu qu'elles l'étaient davantage. Le reste dit n'avoir pas observé de véritable différence.
"C'est la première fois que les réponses 'pas aussi bonnes' l'emportent sur les réponses 'meilleures'" en 23 ans d'enquêtes, souligne Beemer.
Son constat diffère de celui de la Fédération nationale de la vente au détail (NRF), selon laquelle les consommateurs américains ont dépensé en moyenne sur les quatre derniers jours 7,2% de plus qu'en 2007.
Mais la NRF précise toutefois que les consommateurs pourraient avoir bouclé cette année pendant le week-end de Thanksgiving une plus grande partie de leurs courses de Noël que les années précédentes, ce qui se traduira selon elle par une diminution au cours des semaines à venir du taux de croissance estimé sur la période jeudi-dimanche.
America's Research Group a indiqué pour sa part que 43,4% des consommateurs interrogés jugent leur situation financière familiale moins bonne que l'an dernier. Pour 14,7% des Américains, elle s'est en revanche améliorée.
Quand on leur demande de quelle catégorie d'articles ils commenceraient par se débarrasser s'ils devaient tailler de nouveau dans leur budget, les Américains répondent à 48,3% qu'ils résilieraient les plus chers de leurs abonnements au câble, à 20% qu'ils réduiraient leur facture de téléphone portable, à 13,8% qu'ils supprimeraient leur accès à l'internet haut débit et à 12,9% qu'ils élimineraient une ligne de téléphone fixe.
Kim Coghill, version française Gilles Guillaume
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ete possible cliquez et recliquez
01/12/2008 10:25
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et encore
01/12/2008 08:36
Les ventes de voitures hors "mini" en chute de 27,3% au Japon
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on se sent moins complexes non ?
30/11/2008 21:20
Buffett magic gone?
(01:53) Report
Nov. 28 - Billionaire investor Warren Buffett has seen shares of his Berkshire Hathaway cut in half as investors fear the company could be hit with a big payout in the future.
Buffett's company has issued insurance policies for equity derivatives, that if values keep dropping, would result in payments which could total as much as $37 billion.
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